Bienvenus sur le site de la Rose-Croix de la Guyane.

Implanté depuis 1972 sur ce territoire, notre Ordre dispose aujourd'hui de locaux où sont menées des activités réservées aux membres mais également des activités ouvertes au public. Vous trouverez sur ces pages les informations concernant les activités publiques et réservées aux membres : conférences, séminaires, réunions-débats, etc.  Nos rubriques Média et Vidéos vous propose également des documents, des supports vidéos et textes qui vous permettront de mieux faire connaissance avec la philosophie Rosicrucienne. Nous vous invitons à les consulter.

Bonne visite.

Calendrier des activités accessibles au public

Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30

L’Ordre de la Rose-Croix, aussi connu sous le nom d'Ancien et Mystique Ordre de la Rose‑Croix (A.M.O.R.C.), est un mouvement philosophique, initiatique et traditionnel.

Non religieux et apolitique, il est ouvert aux hommes comme aux femmes, sans distinction de race, de nationalité, de classe sociale ou de religion.

Reconnu d'utilité publique dans plusieurs pays en raison de sa contribution à la culture, à l'éducation et à la paix, il a pour devise :

« La plus large tolérance dans la plus stricte indépendance. »

 

Extrait de l'ouvrage "L’idéal éthique des Rose-Croix"

Serge Toussaint (Auteur), Edition Rosicrucienne


Extrait du chapitre « L’Altruisme »

« S’il est vrai que l’on peut être altruiste sans croire en Dieu, le fait d’être spiritualiste ouvre néanmoins des horizons plus vastes dans l’application de l’altruisme. En effet, si l’on admet que l’humanité fait partie d’un Plan divin et qu’elle évolue vers un État idéal, on comprend intuitivement que cet État ne peut être atteint que d’une manière collective et en faisant appel à ce qu’il y a de meilleur dans la nature humaine. Par ailleurs, le fait d’être convaincu qu’il existe une relation privilégiée entre l’homme et Dieu donne une dimension transcendantale à notre vie et lui confère un sens que toute personne athée ou matérialiste ne peut concevoir. Vous noterez d’ailleurs que la foi, dans son application la plus positive, est elle-même une vertu qui incite à œuvrer au service du bien. Si tel est le cas, c’est parce qu’elle prend sa source dans les aspirations les plus nobles de l’âme. »

Extrait du chapitre « La Confiance »

« S’il est important de savoir faire confiance aux autres sous réserve d’une légitime prudence, il faut absolument étendre cette confiance à l’homme lui-même, en tant qu’incarnation de l’Âme divine. Certes, nous ne pouvons nier que certains individus ont un comportement malveillant et incitent effectivement à la méfiance. Mais ne sont-ils pas une minorité en comparaison de tous ceux et de toutes celles qui aspirent au bien et à la fraternité ? Aussi, plutôt que de nous polariser sur cette minorité mal agissante et de lui donner une importance qu’elle n’a pas nécessairement, nous devons rester sereins et placer toute notre espérance en l’humanité. Même si cela peut sembler utopiste, nous devons partir du principe qu’elle évolue vers un état idéal qui fera le bonheur de tous. Faisons-lui donc confiance, et puisons dans cette confiance le désir de nous améliorer nous-mêmes, tant il est vrai que le genre humain s’élève chaque fois que l’un de nous fait preuve d’humanisme. »