Bienvenus sur le site de la Rose-Croix de la Guyane.

Implanté depuis 1972 sur ce territoire, notre Ordre dispose aujourd'hui de locaux où sont menées des activités réservées aux membres mais également des activités ouvertes au public. Vous trouverez sur ces pages les informations concernant les activités publiques et réservées aux membres : conférences, séminaires, réunions-débats, etc.  Nos rubriques Média et Vidéos vous propose également des documents, des supports vidéos et textes qui vous permettront de mieux faire connaissance avec la philosophie Rosicrucienne. Nous vous invitons à les consulter.

Bonne visite.

Calendrier des activités accessibles au public

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L’Ordre de la Rose-Croix, aussi connu sous le nom d'Ancien et Mystique Ordre de la Rose‑Croix (A.M.O.R.C.), est un mouvement philosophique, initiatique et traditionnel.

Non religieux et apolitique, il est ouvert aux hommes comme aux femmes, sans distinction de race, de nationalité, de classe sociale ou de religion.

Reconnu d'utilité publique dans plusieurs pays en raison de sa contribution à la culture, à l'éducation et à la paix, il a pour devise :

« La plus large tolérance dans la plus stricte indépendance. »

 

  • Extrait : Les rêves, messagers de l’âme - Auteur : Robert Blais

    Extrait de l'ouvrage "Les rêves, messagers de l’âme" Robert Blais (Auteur), Edition Rosicrucienne Extrait du chapitre « La science des rêves » « La vertu thérapeutique du rêve lucide provient précisément du fait que la seule manière de guérir les grandes blessures psychiques, c’est de faire face aux peurs secrètes qu’elles ont générées, par un acte de conscience. Voilà ce qu’accomplit le rêveur lucide lorsqu’il fait face à ses propres dragons pendant son sommeil. Des psychologues américains...

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Extrait de l'ouvrage "Qabbale et corps humain"

Josselyne Chourry (Auteur), Edition Rosicrucienne


Extrait du chapitre « La thérapie et la qabbale »

« Toute guérison passe par une modification des schémas mentaux du malade, elle implique une remise en question au niveau existentiel et surtout au niveau de la conscience. Ce travail passe par la parole issue du Verbe.

La terapeia grecque, comme la THeRouPHaH hébraïque, a un sens plus profond que leur définition commune. Se contenter de soigner une maladie en ne considérant que ses effets est un leurre qui enferme le malade dans son mensonge. Avoir la prétention de soigner un mal sans sonder ses racines, sa ou ses causes, c’est refuser au malade la possibilité de se prendre en charge. La tradition qabbaliste insiste sur la mise en avant du sens de la responsabilisation de tout être par la conscientisation de ses maux par les mots. »

Extrait du chapitre « Schéma corporel et énergétique : le foie »

« En hébreu, « foie » se dit KaVeD = 26 ; en arabe, KaBaD. C’est un stratège qui organise la libre circulation du sang et de l’énergie. Avec les mêmes lettres, nous obtenons le mot KaVoD, qui signifie « respect, honneur ». Le mot « foie » vient du latin ficus, « le figuier ». Dans le récit de la Genèse, il est dit : « Leurs yeux à tous deux se dessillèrent, et ils connurent qu’ils étaient nus ; ils cousirent ensemble des feuilles de figuier, et ils s’en firent des pagnes. » (Genèse, chapitre 3, verset 7.)

L’analogie du figuier exprime la montée du désir au niveau du foie, pareille à la montée de la sève dans l’arbre. Annick de Souzenelle nous dit que « le foie est le lieu du corps où s’engrange la lumière de l’accompli ». Le rapport du foie au désir et à l’aspiration est mis en évidence par sa valeur 26. KaVeD = 26, de même valeur que YoD-Hé-VaV-Hé (le Nom, terme qui sert à désigner Dieu). »

Extrait du chapitre « Schéma corporel et énergétique : les reins »

« On retrouve l’importance des reins dans de nombreux passages bibliques : « Dans leurs rangs, personne ne connaît la fatigue ni la faiblesse ; nul ne dort ni ne sommeille, ni ne dénoue la ceinture de ses reins, ni ne délace la courroie de ses sandales. » (Isaïe, chapitre 7, verset 27.) On trouve dans ce verset la jonction entre les germes pieds et les germes reins. Plus loin encore : « La justice sera la ceinture de ses reins et la loyauté l’écharpe de ses flancs. » (Isaïe, chapitre 11, verset 5.) On comprend mieux ainsi l’utilisation de la cordelière en tant que lien spirituel. Dans de nombreuses cultures, elle est un attribut religieux, un lien d’initiation et de transmission. La cordelière symbolise également la séparation de l’étage inférieur des instincts et désirs d’avec l’étage supérieur des aspirations spirituelles. Quand un être devient sensible à l’éveil de sa conscience, il devient en effet moins tributaire de ses propres mécanismes instinctifs. »