Bienvenus sur le site de la Rose-Croix de la Guyane.

Implanté depuis 1972 sur ce territoire, notre Ordre dispose aujourd'hui de locaux où sont menées des activités réservées aux membres mais également des activités ouvertes au public. Vous trouverez sur ces pages les informations concernant les activités publiques et réservées aux membres : conférences, séminaires, réunions-débats, etc.  Nos rubriques Média et Vidéos vous propose également des documents, des supports vidéos et textes qui vous permettront de mieux faire connaissance avec la philosophie Rosicrucienne. Nous vous invitons à les consulter.

Bonne visite.

Calendrier des activités accessibles au public

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L’Ordre de la Rose-Croix, aussi connu sous le nom d'Ancien et Mystique Ordre de la Rose‑Croix (A.M.O.R.C.), est un mouvement philosophique, initiatique et traditionnel.

Non religieux et apolitique, il est ouvert aux hommes comme aux femmes, sans distinction de race, de nationalité, de classe sociale ou de religion.

Reconnu d'utilité publique dans plusieurs pays en raison de sa contribution à la culture, à l'éducation et à la paix, il a pour devise :

« La plus large tolérance dans la plus stricte indépendance. »

 

  • Extrait : Les grandes voies de l’amour - Auteur : Aline Charest

    Extrait de l'ouvrage "Les grandes voies de l’amour" Aline Charest (Auteur), Edition Rosicrucienne Extrait du chapitre « L’amour humain » « L’amour est la voie de connaissance sans laquelle nous ne pourrions pas pénétrer dans l’âme humaine. Il est la seule lumière qui nous permet de connaître à fond les êtres qui nous entourent. Nous ne pouvons connaître une autre personne que si nous l’aimons profondément. Grâce à l’amour, tout être humain peut connaître ses semblables, c’est-à-dire ce qu’il y a de...

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Extrait de l'ouvrage "Le temps"

Ouvrage collectif (Auteur), Edition Rosicrucienne


Extrait du chapitre « La vision mystique du temps »

« […] Les mystiques considèrent que ce qui est important, ce n’est pas le temps écoulé mais les expériences réalisées, leur compréhension la plus juste et la connaissance acquise. C’est ce qui contribue au développement de notre conscience objective, et plus cette conscience sera développée, plus notre pouvoir de résolution des problèmes posés par la vie sera grand. Ils considèrent que la voie la plus juste n’est pas uniquement celle de la raison, mais aussi celle des intuitions et des signes que la vie nous adresse, et dont la perception n’est envisageable que si nous sommes disponibles et attentifs pour vivre pleinement le présent et avons une conscience la plus exacte et la plus complète possible des événements qui surviennent. C’est ce que nous rappelle l’expression « vivre ici et maintenant » ou indirectement le « carpe diem (profite du jour) » des Gréco-Romains. »

Extrait du chapitre « Le temps comme phénomène psychologique »

« D’un point de vue rosicrucien, le monde matériel, comme l’explique le généticien Albert Jacquard, résulte de la perception des vibrations qui en émanent continuellement. Dans l’absolu, cela signifie que tout ce que nous voyons, entendons, touchons, sentons, goûtons, provient de stimuli vibratoires que nous interprétons en termes de sensations ou d’impressions. De ce fait, la réalité que nous attribuons aux choses est subjective et constitue une vérité relative. En somme, nous avons conscience du temps réel par notre conscience objective régie par nos facultés mentales. Le temps n’est pas à l’extérieur de nous, car c’est de l’intérieur que nous participons au temps. À vrai dire, il n’existe pour nous que le temps psychologique. »

Extrait du chapitre « La dictature du temps dans le monde moderne »

« Le rythme de vie trépidant engendré par le milieu professionnel et les priorités erronées que nous nous fixons pour faire face aux contraintes rencontrées, voire imposées, ne sont plus en adéquation avec les rythmes naturels et ont pour résultante l’émergence d’abord d’un mal-être profond, et ensuite de maladies dites de civilisation, dont le stress, l’hypertension, le diabète et le cancer sont les expressions les plus marquantes. Il arrivera certainement un moment où, ne pouvant plus subir une telle pression fondamentalement contraire à leurs intérêts profonds, les populations ainsi abusées et exploitées se trouveront à la croisée des chemins et devront faire un choix : donner la priorité à l’éphémère ou recentrer leur existence sur l’essentiel, à savoir la spiritualité, objet même de leur incarnation. Ce n’est qu’au prix d’une telle évolution que l’humanité pourra prétendre à une existence pérenne, sinon il y a malheureusement fort à parier qu’elle finira par s’autodétruire. »